Ce lundi a été marqué par une nouvelle qui nous a tous attristés et qui a suscité la plus vive émotion au sein de notre campus et parmi nos étudiants, nos Alumni, nos équipes : l’annonce du décès de Mr. Gérard Pélisson, co-fondateur du groupe Accor, président d’honneur de l’Institut Paul Bocuse.
Nous avons tout d’abord une pensée toute particulière pour son épouse, sa famille et ses proches endeuillés.
Cette annonce a pour nous une résonnance toute particulière. Nous sommes aujourd’hui orphelins de notre 2ème fondateur, après la perte de Paul Bocuse en 2018. Nous sommes tristes, nous venons de perdre un guide, notre guide.
Les témoignages de nombreux d’entre vous, dont nous vous remercions, sont révélateurs de l’émotion que nous ressentons tous de la perte d’un de nos mentors, un de nos fondateurs source d’inspiration, qui a permis depuis plus de 20 ans de soutenir le développement, la reconnaissance et l’ouverture de notre école.
Il a souhaité, en grand mécène et visionnaire, apporter son soutien financier à notre Ecole, à travers la création de sa Fondation : la Fondation G&G Pélisson pour l’Institut Paul Bocuse aux côtés de son neveu Gilles, en 2015. Avec pour objectif de poser les bases de la plus belle Ecole française de l’Hôtellerie et des Arts Culinaires, tout en poursuivant sa vision, celle de «faire rentrer nos petits métiers à l’université».
L’attachement de Gérard Pélisson à la défense de valeurs simples, à ses racines lyonnaises, à la France ramène à l’essentiel : la valeur du travail, la générosité, la curiosité, le courage, l’humilité, l’audace entrepreneuriale, la quête permanente de l’excellence et la transmission. Ses valeurs continueront à nous guider dans chacune de nos actions, pour écrire un nouveau chapitre de notre histoire et pour que sa philosophie et sa philosophie vivent au présent.
Aux côtés de Gilles Pélisson, Président de l’Institut Paul Bocuse et Sylvie Pélisson, Présidente de notre Fondation, nous sommes dépositaires du patrimoine extraordinaire qu’il nous a confié pour le transmettre aux futures générations.
Soyons en digne ! Monsieur Pélisson, Merci, sans vous rien n’aurait été possible !